" Juger, c'est de toute évidence ne pas comprendre
puisque, si l'on comprenait
on ne pourrait pas juger

 Ne juge personne
avant de te mettre à sa place "

   

 

Maîtrise des mots...Un souffle léger...
 Une jolie toile...Couleurs tendres...Passe t' "elle"...
Des sentiments...Un arc-en-ciel...Une âme éternelle...
Contrée de chemins...Inconnus...Voyage d'un ailleurs...Un temps peau r' "elle"...

 


 Un regard...Un souvenir...Une mémoire qui se perd...
Vivre maintenant...Un coeur envie ou en vie...Souffle d'air...
Sensorielle...Réelle...Iré-"elle"...Mais..."elle"...
Ame intuitive...Sens infaillible..."elle" fidèle...

 

 Ce soir...Douceur d'un temps passé...Demain futur réalité...
Gouttes d'eau de LAU. ...Mon rêve s'achève...Ma destinée...
Pour un moment..."elle" doit vivre et survivre...Une fatalité...
Mais son émoi...Sera toujours là...Douce sensibilité...

 
 

 Rayon de lune...Tendresse réservé...Intimité...
Un long silence...En si lance...-moi...Sensualité...
Ce pas de danse...Valse dense...Rythmé...
Mélodie sentimental...Rt d'un coeur...Etoilé...

 

 

 

 Bien-sûr qu'un jour s'en
va pour l'un et pour l'autre s'en vient
Bien-sûr les étoiles se meurent quand le ciel s'éteint
C'est notre amour qui n'aura jamais de lendemain
Mon frère
 
Bien plus qu'un monde qui s'ouvre à l'un et pour l'autre
chavire
Bien plus qu'une mer qui supplie quand la source est tarie
C'est tout notre amour qui s'éloigne des rives et se perd
Mon frère
 
Tout s'oublie
Chacun avec sa peine
Que le temps nous reprenne
Les souvenirs
D'un frère
 

Chacun avec sa peine
Que le temps nous apprenne
A nous aimer
En frère

Bien-sûr que la terre est brûlée quand la pluie l'oublie
Bien-sûr que tout est cri puisqu'on se l'ait jamais dit
Bien-sûr l'amour, puisqu'il ne peut plus grandir, s'enterre
Mon frère
  
Bien plus qu'un dernier regard peut décider d'une vie
Bien plus que cette fin d'espoir que le courant charrie
C'est un amour qui ne trouvera pas de rivière
Mon frère...

Tout s'oublie
Chacun avec sa peine
Que le temps nous reprenne
Les souvenirs
D'un frère

Chacun avec sa peine
Que le temps nous apprenne
A nous aimer
En frère
 
Puisqu'on ne sera toujours
Que la moitié d'un tout Puisqu'on ne sera jamais
Que la moitié de nous
Mon frère...
Bien-sûr que rien ne pourra jamais nous l'enlever
Bien plus que tout ce que la vie peut nous accorder
 
L'amour sera toujours cette moitié de nous qui reste
A faire
Mon frère... 

(Les 10 Commandements)

 

 

 

 

 

 

Par-dessus l’horizon au ciel bleu azur

Des chemins vicinaux empruntés à vive allure

Je regarde tout seul à l’heure du couchant

Mon passé comme éclore au bord d’un champ

Face à ce regard qui scrute loin en moi

Espérant cette présence qui accentue mes émois

Tes yeux épanchant leur lumière immortelle

Dardant sur moi des rayons tombant drus du ciel

Je résiste à cette torpeur qui m’envahit soudain

Craignant de perdre mon âme face à l’injuste dédain

Ecoutant pensif au fond de mon âme folle

Cette force qui m’élève brusquement du sol

 

Je m’en vais méditant vers le bucher fumant

Où se consument déjà tous les beaux sentiments

Bousculant au passage bien des rêves inutiles

Qui emplissent nos cœurs d’illusions moins futiles

 

La destinée aux yeux profonds nous toise de haut

Dressant devant nos pieds ses sublimes oripeaux

Balisant de fleurs sombres les extrémités ultimes

Qui rapprochent un peu plus nos pas de l’abime

Mais devant ta splendeur mon cœur s’arrête hébété

Ne pouvant nier l’évidence de la grâce et la beauté

Et tel un vin qui l’enivre recherche cette lumière

Qui illumine le chemin des amoureux sur terre

 

L’infini semble porter  un frisson de feuillé

Mon cœur croit s’assoupir, il demeure éveillé

Devant tant de magnificence, il se laisse envahir

Par ce sentiment naissant qu’il ne veut plus subir

 

 

L’amour flottant dans un ciel de vagues mélodies

Où l’aube allume chaque soir ses grands incendies

Cherchant son âme sœur au fin fond des cieux

Au-delà de l’océan dans l’écume de tes yeux

 

 

 

 

J’ai parfois cru en l'amitié comme une amitié
sincère de certaines personnes !!

Quelle ne fut pas ma surprise de voir,
que c’était une amitié à sens unique !

Moi, quand ces personnes avaient
besoin de moi,j'étais toujours là..

Mais au fil du temps, j'ai fini par comprendre
que dans la vie réelle ou virtuele
il y a encore des amitiés sincères
envers certaines personnes et que
si on veut garder précieusement cette
amitié avec ces personnes il faut savoir
les choisir,c’est un peu comme
l’amour,Il faut le nourrir.

J’ai eu la chance de connaître certains
et certaines d'entre vous et de voir
ce qu'est une amitié sincère..

Ici, je vais parler en général
mais les personnes de qui je parle
vont se reconnaître, j’en suis sûr..

Quand j’ai de la peine ou de la joie,
elles ont toujours été là pour moi.

Et moi aussi, combien de fois, ils ou elles
m'ont encouragé, appuyé et félicité.

Il y a une complicité entre nous que je n’ai
jamais connu avant,mais cette
amitié vient du net.

Je ne croyais jamais qu'un jour j'allais
rencontrer autant de monde dans
cet univers qui est le poker
surtout en virtuel !!

J’ai eu cette chance de vous rencontrer
grâce au net et j'en suis fier.

Il n'y a pas un soir, ou je ne pense à ces
personnes qui sont si chers
à mon cœur.

Je dédie cette lettre, à tous mes amis(es)
sur le net,ils ou elles savent tous et toutes
que vous pouvez compter sur moi,
comme moi sur eux.

À vous tous, mes amis(es), Je vous Aime et
je tiens plus que tout à votre Amitié.