• Tendresse...

     Tendresse...

    Pourquoi j'te dirais pas ces mots
    Qui disent que j'suis heureux
    Que quand mes mains te voient
    Mon cœur se sent pousser de yeux
    Qu'j'ai beau vouloir ne suivre que mes pas
    J'veux plus aller là où tu es pas là

    Pourquoi j'te dirais pas ces mots
    Qui dis'que je me sens bien
    Ces mots qui disent tout
    Même quand y disent rien
    Pourquoi j'ai peur de murmurer tout bas
    tout contre toi
    Que je t'aime
    Heureusement
    Que je t'aime tout simplement

    Tendresse...

    Pourquoi j'te dirais pas ces mots
    Qui veul'dire que t'es belle
    Que quand t'es près de moi
    Mon cœur se sent pousser des ailes
    Et que je sois d'accord ou pas d'accord
    J'sais plus voler quand c'est pas dans ton corps

    Pourquoi j'te dirais pas toutes ces choses que tu sais
    Que si j'suis loin de toi
    Je suis mon prisonnier
    Heureusement qu'on vit collé comme ça
    joue contre joie
    Que je t'aime
    Heureusement
    Que je t'aime tout simplement

    Tendresse...

    Je t'aime c'est comme un son
    C'est comme des mots sur ce frisson
    Qui met le plaisir en chanson
    Ca veut dire seulement
    Que même si c'est pour quelques jours
    On voudrait que ça dure toujours

    Pourquoi ça fait si peur
    De ce dire les mots du bonheur
    Même si ces mots l'amour il les connaît par cœur
    C'est des caresses, des câlins de ma voix
    Quand je te vois

    Tendresse...Tendresse...

    Juste des mots qui veul'dire que je suis heureux
    Que c'est à cause de toi que je suis amoureux
    Les dire c'est vivre avec toi
    Chaque fois
    La première fois
    Que je t'aime
    Heureusement
    Que je t'aime tout simplement
    Comme un enfant

    Je t'aime c'est comme un son
    Qui vole à dos de frisson
    Je t'aime c'est en couleur
    Le chant d'un soupir en fleur
    Je t'aime c'est comme un plus
    Quand les mots ne servent plus
    Trois p'tits tours de planeur
    Pour un cœur en mal de bonheur

    (Francis Lalanne)

    Tendresse...

    Je tenais à vous parler d'un poète contemporain que l'on a tendance à oublier...

    C'est à moi-même ce qu'il m'est arrivé jusqu'à aujourd'hui par ses Mots...

    Tendresse...


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  •  

    COUPLES

    Jour 1
    Amour numéro 1
    C'est l'amour suprême
    Dis-moi que tu m'aimes
    Je veux un jour numéro 2
    Une suite à l'hotel, supplément mortel
    Je t'ai regardé toute la nuit
    Danser sur mon âme n'est plus permis
    9 jours
    La vie c'est du velour et l'éternité, une nécessité
    Jour 10
    Variation du délice,
    Que voudrais-tu faire?
    Une balade en mer?
    Chaque jour,
    Dépendance à l'amour, pas de danse autour

    Jour 1...

    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient
    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient.

    Belle image couple
    100 jours si c'était un jour sans
    Sans en avoir l'air de l'orage dans l'air
    Jour 1000 t'as touché dans le mille et sans térébanthine
    cachée dans la poitrine
    Chaque jour,
    dépendance à l'amour, pas de danse autour

    df559b43_1.gif
    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient
    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient.

    Image du Blog zezete2.centerblog.net
    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient
    C'est le jour 1, celui qu'on retient,
    Celui qui s'efface quand tu me remplaces, quand tu me
    retiens,
    C'est celui qui revient.untitled-2.png

    A Toi Jess'...


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  • Maman...

    Les amants passent de lit en lit
    Dans les hôtels, sur les parkings
    Pour fuir tout cette mélancolie
    Le coeur des villes a mauvaise mine

    Des coups de blues, des coups de fil,
    Tout recommencera au printemps
    Sauf les amours indélébiles.

    Maman...
    Les rêves s’entassent dans les métros,
    Les grattes-ciel nous regardent de haut
    Comme un oiseau sous les barreaux.

    J'suis pas bien dans ma tête, maman.
    J’ai perdu le gout de la fête, maman.
    Regarde comme ta fille est faite, maman.
    Je trouve pas de sens à ma quête maman

    Maman...

    A l’heure où les bars se remplissent,
    Cette même heure où les cœurs se vident.
    Ces nuits où les promesses se tissent,
    Aussi vite qu’elles se dilapident.

    Des coups de blues, des coups de fil,
    Tout recommencera au printemps
    Sauf les amours indélébiles.

    Maman...
    Les rêves s’entassent dans les métros,
    Les grattes-ciel nous regardent de haut
    Comme un oiseau sous les barreaux.

    J'suis pas bien dans ma tête, maman.
    J'ai perdu le gout de la fête, maman.
    Regarde comme ta fille est faite, maman.
    Je trouve pas de sens à ma quête
    Regarde comme ta fille est faite, maman.
    Je trouve pas de sens à ma quête maman

    Maman...


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  • Paradise'☼...

    The river is as clear as my head
    And I breath in front of the sunset
    No money, there’s no problem just let it go
    You will see life is better without tears

    Well I’m on my way, on my way, on my way to paradise
    Mon chemin, mon destin, mon bonheur, my paradise
    Non rien ne m’arrête, je sais où je vais, oui, où que j’aille
    I’m on my way, I’m on my way, yes I’m on my way

    Paradise'☼...

    Ne te retourne pas, suis toujours l’horizon
    Laisse derrière toi tes peurs, tes déceptions
    Quand vient la nuit, s’effacent les apparences

    Il ne reste que l’essentiel, l’évidence

    Well I’m on my way, on my way, on my way to paradise
    Mon chemin, mon destin, mon bonheur, my paradise
    Non rien ne m’arrête, je sais où je vais, oui, où que j’aille
    I’m on my way, I’m on my way, yes I’m on my way

    Paradise'☼...

    Oublie les doutes, la distance
    C’est ta route, ta force, ta danse, ta danse

    Well I’m on my way, on my way, on my way to paradise
    Mon chemin, mon destin, mon bonheur, my paradise
    Non rien ne m’arrête, je sais où je vais, oui, où que j’aille
    I’m on my way, I’m on my way, yes I’m on my way

    Paradise'☼...


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  • "Voici un poème écrit par un homme pour son épouse il y a plus de 50 ans...

    TUBES FLEURS ( MUGUET)Muguet TUBES FLEURS ( MUGUET)

    Histoire d’un brin de muguet

    Depuis plus de quatre ans que je suis prisonnier.
    Mes jours heureux, sont, quand je reçois du courrier.
    Les lettres sont pourtant presque toujours les mêmes.
    Je suis en bonne santé, te souhaitant de même.
    Puis invariablement pour terminer, toujours.
    Je conserve l’espoir de ton prochain retour.

    Mais, dans un coin d’une lettre que j’ai reçue.
    Un petit brin de muguet y était cousu.
    Vraiment, c’est enfantin d’envoyer ce muguet.
    Je pourrais en avoir, ici, tout un bouquet.
    Qui ne serait pas fané comme celui-ci !
    Dans les bois allemands, le muguet pousse aussi.

    Tube 1er Mai - Femmes au Muguet 6

    Et, comme pendant un moment, je restais là.
    Soudain, le petit brin de muguet me parla.

    - Excuse, me dit-il, si j’ai triste figure.
    Pourtant, si tu savais, j’étais beau je t’assure.
    Tu as l’air d’en douter, tu ne veux pas me croire ?
    Je vais, pour te convaincre, conter mon histoire.

    D’abord, j’ai vu le jour là-bas, très loin d’ici.
    C’est sur le sol français qu’un matin j’ai fleuri.
    A l’ombre des grands bois, au milieu d’autres fleurs.
    J’ai vécu, sans savoir que c’était le bonheur.

    Tube 1er Mai - Femme au Muguet 15

    Je buvais, le matin, la rosée bienfaisante.
    Je puisais dans le sol, nourriture abondantes.
    Je voyais, le ciel bleu, la lune ou les nuages.
    Je voyais, le soleil à travers le feuillage.
    C’est lui qui me chauffait de ses rayons ardents.
    Ainsi, rapidement, j’ai pu devenir grand.

    Comme il faisait bon, comme tout était beau.
    Nous avions chaque jour, le concert des oiseaux.
    Tu as dû, toi aussi, l’écouter, autrefois.
    N’est-ce pas, qu’il faisait bon vivre dans ces bois ?

    Tube 1er Mai - Femme au Muguet 32

    J’aurais dû ne jamais rien désirer de plus.
    Pourtant je subissais l’attrait de l’inconnu.
    Je pensais que peut-être, je serais cueilli.
    Comme porte-bonheur, et j’en étais ravi.

    Une dame, en passant, devina mon désir.
    S’approchant doucement, elle vint me cueillir.
    Me prenant dans sa main, avec d’autres muguets.
    Nous formions à nous tous, un superbe bouquet.
    Qu’auprès de son visage elle approchait souvent !
    Humant notre parfum tout en nous contemplant.

    Tube 1er Mai - Femme au Muguet 19

    Chez elle dans un vase à demi rempli d’eau.
    Pour conserver longtemps ce muguet frais et beau.
     Nous avons parfumé ce qui nous entourait.
     Dans cet appartement coquet, je me plaisais.

       Mais quand, le lendemain, parmi les plus jolis.
      Qu’elle avait mis à part, c’est moi qui fût choisi.
    J’étais heureux et fier d’être le préféré.
    J’entrevoyais, pour moi, l’avenir tout doré.
    Puis au coin de la lettre, où je suis maintenant.
    La dame m’a placé, cousu, soigneusement.
    Avec des gestes tendres, n’osant m’effleurer.
    Tout comme si j’étais une chose sacrée.

    muguet

    Puis elle contempla ce travail achevé.
    Vérifiant pour que rien ne soit détérioré.
    Alors en se penchant, je m’en souviens toujours.
    Elle me donna pour toi, un doux baiser d’amour.
    En me murmurant, va, toi, qui porte-bonheur.
    Va, donner ce baiser à l’élu de mon cœur.
    Qui, dans les barbelés dont il est entouré.
    Est privé de caresses depuis des années.

    Ainsi dans la lettre pliée, je suis parti.
    Mais, tu peux savoir tout ce que je souffris.
    Depuis ce moment pour arriver jusqu’à toi.

    LA FEMME ET LE MUGUET

    Le tampon des postiers m’écrasa maintes fois.
    Je fus aussi jeté, bousculé, rejeté.
    Écrasé sous de lourdes piles de paquets.
    Je suis resté des jours, peut-être des semaines.
    Entassé dans des pièces sombres et malsaines.
    Mon parfum s’échappait par toutes mes blessures.
    Vingt fois, j’ai cru mourir, mais j’avais la vie dure.

    J’ai cru aussi deux fois que j’étais arrivé.
    La lettre, brusquement, se trouva dépliée.
    Mais c’était fait par des personnes étrangères.
    Qui ont lu, et relu, ta lettre toute entière.
    Devant tant d’indiscrétion, j’étais indigné.
    Pourtant je dois te dire que nul ne m’a touché.
    Avec le doux baiser que j’ai reçu chez toi.
    J’ai conservé un reste de parfum pour toi.

    Tube 1er Mai - Femme au Muguet 31
    Mais, tu es impassible. Me suis-je trompé ?
    N’est-ce donc pas à toi, que j’étais adressé ?
    Pourtant, j’en suis certain, là-bas, sur le buffet.
    J’ai vu, ta photo, près du bouquet de muguet.

    Sur ce, le brin de muguet, cessa de parler.
    Et moi, un peu confus, je m’en suis approché.
    C’est vrai, que du parfum s’en exhalait encore.
    Non pas, le doux parfum de fleur qui vient d’éclore.
    Cependant cette odeur m’a quelque peu grisé.
    Le papier de la lettre en était imprégné.
    Et sur mes lèvres, j’ai senti, il m’a semblé.
    Recevoir la caresse de ma bien aimée.
    J’en étais tout ému, je ne puis l’expliquer.
    Aussi c’est bête, voyez-vous, mais j’ai pleuré !
                   (Pierre Julien)

    Tube 1er Mai - Femme au Muguet 23


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